La presence de femmes-pretres est attestee dans beaucoup de religions, sauf dans le judaisme et le christianisme (catholique et orthodoxe). S'agit-il d'une survivance ? Est-elle encore admissible aujourd'hui, alors que des scientifiques mettent en cause la notion meme de "e; genre "e;, masculin ou feminin ? Jean Borella prend la question par l'autre bout : en quoi le sacerdoce christique disconvient-il, relativement, a l'etre feminin-sans que l'etre masculin y soit, pour autant, necessairement destine par nature ?